L'apocalypse selon Sandrine Colette...
A la genèse de l'histoire, prenez un gamin dont personne ne veut : Corentin. A l’âge où il quitte ses doudous, faites lui rencontrer son aïeule, Augustine. Faites le grandir dans un univers de taiseux, aux gestes rares, à la tendresse maladroite mais à l'amour inconditionnel et silencieux.
Le jeune homme qui sortira de cette enfance aura une soif de vivre incommensurable et pour la suite du roman, c'est une bonne nouvelle .
Sandrine Colette, une fois de plus, essaye de nous donner la meilleure définition de la déshumanisation. Elle s'attarde à nous prouver que l'homme est un loup pour l'homme, que la nature arrive à saturation et que la fin du monde est pour bientôt.
Allez ! Bonne lecture !
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