Je n'ai jamais caché que Cécile Coulon avait du talent. Je l'ai souvent crié haut et fort quand jeune débutante , elle nous offrait "Méfiez-vous des enfants sages" aux éditions Viviane Hamy, puis tel un métronome " Le roi n'a pas sommeil", "Le rire du grand blessé", "Le cœur du pélican " et " Trois saisons d'orage".
"Les ronces" chez Castor Astral recevait le prix Guillaume Apollinaire et le prix révélation poésie de la SGDL. Quand je vous disais que cette petite avait du talent !
Cécile Coulon a vieilli. Dans "Une bête au paradis" , elle frotte sa peau à la terre… jusqu'au sang . Ces portraits de femmes sont justes et acides . Ces portraits d'hommes sensibles et amers. Elle met le monde à l'envers pour une histoire d'amour .
Le 21 Août , dans toutes les bonnes librairies indépendantes. ( une séance de rattrapage sur les titres cités est indispensable .)
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