Ces dernières semaines, j’ai lu quelques polars dont le dernier Sandrine Colette, « Animal » ou le dernier Paul Colize , « Un jour comme les autres », et je n’ai pas fait de chronique.
Valério Varesi m’offre la possibilité de revenir vous parler de ce qui est important en littérature ! Ne jamais se moquer de ses lecteurs , écrire oui mais pas à tout prix ! Écrire sans rentrer dans de pseudos cases commerciales et garder son indépendance éditoriale .
Pour cela , Valério Varesi est un artisan et c’est pourquoi j’aime le conseiller .
Je vous emmène donc à Parme, dans la chaleur étouffante de l’été. Et nous avons tout notre temps pour découvrir qui a tué le petit commerçant , Francesco Galluzzo.
Impatients s’abstenir . Valério Varesi ou l’éloge de la lenteur . C’est juste délicieux!
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